Une vision narrative interculturelle et interpersonnelle de l'art et de l'environnement
Julio Enrique Correa
Enfin, ö bonheur, ö raison, J’ecartai du ciel l’azur, qui est du noir,
Et je vecús, étincelle d’or de la Lumiëre: nature
Une saison a l’enfer
Arthur Rimbaud
Dans
cette article nous révisons l’influence de la culture sur la description
narratif de l’environnement. Ce description dont l’homme et les animaux sont
frequentement inclus est partagé pour la peinture et le cinema. Dans le celebre
tableau de Edoard Manet “Le dejeneur a l’herbe” l’environnement n’est pas
seulement la scene dont sont reunís les deux hommes habillés avec la femme
nude, mais aussi une reference sensible à la nature sexualisé qui est simbolisé
pour la náyade qui se bagne dans le risseau, proche d’une grenouille. Dans la
peinture de Jean-Francois Millet “Des
glaneuses” (1857) –ouvre qu’est exposée dans le musée d’Orsay à Paris- on
montre des femmes que glanent la campagne. Le film de Agnès
Varda “Les glaneurs et la glaneuse... deux
ans après” (2002), commence pour le parcourt des visiteurs du Musée
d’Orsay à París que regardent le tableau, qu’est en exhibition permanent. Plus tard le film montre le meme motif dans une
tableau exposée a le musée d’Orsay: "La
glaneuse" de Jules Breton
(1877). On peut dire que les deux peintures sont devenus célèbres
respectivement pour son representation reél des rapports entre sexes et la vie rurale au XIXe siècle, qui, respectivement, ont été rejetés par
la critique et la haut classe française.
La realizatrice à une tres important filmographie qui descrit avec
delicat detail les aspectus de l’environnement urbain et de la nature associés à le tissue des histoires
((“La Bonheur”, “Les plages d’Agnès”, “Sans toit ni loi” avec Sandrine Bonnaire).
Dans le dernier film, elle raconte l'histoire d’une “homeless” et aborde son
aspect psyco-social. Dans le film “Les glaneurs et la glaneuse... deux ans après” elle suivre a réviser les histoires fournisent pour les cueilleurs
d’ordures en train d’obtenir son alimentation
a meme temps de developper le recyclage des materiaux qu’inclurent des
créations artistiques. Au fin de la scéne picturale initial le filme saute
abruptement a cettes images des cueilleurs dans les rues des villes, des routes
et de la campagne de la societé technologique d’ajourdhui et envisage un théme
crítique tres important de l’environnement et de la santé, en posent la
question du destin des résidus communs,
et aussi de son recyclage. En bref, le film parcourt les activités
des cueilleurs de aliments et de materiaux dans la ville de París, entour des
marchés, en considerant le rapport que
mantenent les secteurs marginaux de la societé chez les résidus communs organiques et dangereuses qui s’accumulent comme ordures écartées dans
l’environnement, et invite ainsi a la réflexion et a la discussion de le
context culturelle de l’environnement en comparison avec les “glaneurs” que
survivre dans la campagne, en recueillir les excédents de pommes de terre, de
tomats, de fruits. La mer offrit une autre forme de récolte, en cueillir des
huïtres dans la cöte, aprés la tempëte ou la grand marée, tout sans permission
de l’ocean et de aucun patrón. La condition essential du “glaneur” c’est
que la moisson normal a été finit, donc est necessaire réviser les législations
que la permettre aux marginaux et aux pauvres. Dans nos “Journées du cinema et
le environnement” nötre equipe de travail chez les Sciences environnementelles
et la Santé (ICAS) rappeleit la mention du livre de Torá a l’aide solidaire
au pauvre et au étrangere, qui est formulé de maniere particuliere en rapport a
la célebratión du Shavuot, chez le Livre de Rut: 23:22 ubekutzrejem et-katzir
artzejem lo-tejale peat sadeja bekutzreja veleket ketzireja lo tilkat laoni velaguer
taazov otam ani A-donai Eloeijem. “Lorsque vous ferez la moisson de votre
terre, ne moissonnera pas les coins mêmes de vous glanant de ta moisson; pour
les pauvres et à l'étranger congé vous le laisserez. Je suis votre Dieu”.
D’autre part –sans Dieu que interpeller pour
demander la protection de les pertes de l’art-, Alexander Sokourov dans le film “Francophonie” (2015), s’interrogue et demand aux écrivans endormis (ou morts),
pourqoui l’art on ne nous enseigne pas la prescience -Why is art unwilling to
teach us prescience?-. Aleksandr Sokourov parle en
défense de les chefs d'oeuvre perdus ou en risque de perte dans la traversée
pour l’ocean ou pour l’invasion des vainqueurs de la guerre, qui convertit les
objects esthetiques en trophées de guerre. En rapport à son defense il déroule different niveaux de conversation sur les narratifs de dueil
convoqués pour les arts visuels pendant l’invasion Nazi à la France et à la Russie, que menace de convertir les objets
esthetiques du Musée de Louvre en trophées de guerre. On parle des mechanisms de renégation du deuil qui essayent remplacer des
pertes humaines pour symboles
socio-culturelles de pouvoir triomphal sur les nations vaincues, que à la fois essayent preserver leurs
ouvres d’art à travers de son déménegement et son cachette. Le realizateur propose que les portraits répondent à la identité éthnique des hommes que
ont vecú dedans les contexts changeants de la diversité des cultures Europeans,
en apportent des contributions enrichesants pour la connaissance de l’humanité.
Selon Sokourov l’art européen offre un témoin riche des visages humaines du
passé, mais qu’il ne sont pas sufficient pour calmer l’angoisse si les idées et
valeurs des hommes restent muets. Une question semblable
sur l’environnement apparaitre dans autres narratifs du cinema d’ajourdhui que montrent aussi l’insufficience de
l’environnement de calmer l’angoisse de mort quand n’est pas possible parler sur
les pertes (Sils Maria, Félix
et Meira).
Le film canadien Félix et Meira (2014) met en
évidence le refus / l'acceptation du deuil comme un noyau central dans
l'intrigue de l'histoire qui confrontent les protagonistes avec l'angoisse de
la mort d'une manière incontournable et très intense qui défie leurs
comportements et croyances antérieurs. La couple de protagonistes bataillent
pour sauver leur viie on cherchent de conditions environnementales qui les
aideraient à se détacher de l'incompréhension et de la solitude dans leurs
familles et leurs systèmes culturels respectifs. Ce but les encourage à trouver
un soutien mutuel pour établir une sens d’union forte capable de transformer
leur vie. De même, les récits des personnages principaux impliqués dans la
piece de theattre «Serpent Maloja» -qu’est joué dans le film «Les nuages de
Sils Maria»-, traitent d’un conflit masqué de deuil qui devient impossible à
dévoiler, bien que cela chevauche tous las motivations individuelles qui sont
liées à la vie réelle et aux roles artistiques des personnages.
Dans le film canadien "Monsieur
Lazhar" (2011) cette communication
sur les pertes est fait pour le maître
grace à un un conte de deuil qu’il raconte à son élève : « L'arbre et la
chrysalis, par Bachir Lazhar»:
«Après
une mort injuste, il n'y a rien à dire. Rien du tout. Comme deviendra de la
branche d'un olivier, pendait un minuscule chrysalide de couleur d'émeraude.
Demain, ce serait un papillon, libéré de son cocon. L'arbre était heureux pour voir se
branche d'un olivier, pendait un minuscule chrysalide de couleur d'émeraude.
Demain, ce serait un papillon, libéré de son cocon. L'arbre était heureux pour voir se
chrysalide cultivée par lui,
mais secrètement il voulait la garder quelques années de
plus. "Tant qu'elle se
souvient de moi. Je lui protégerai de rafales, sauverai des
fourmis. "Mais demain,
elle laisserait à affronter seul les prédateurs et la mauvaise
météo». Ce soir-là, un
incendie a ravagé la forêt, et la chrysalide ne devient jamais un
papillon. A l'aube, les
cendres froides, l'arbre encore debout, son cœur était
carbonisé, mais marqué par
les flammes, balafré au chagrin, marqué
par la douleur.
Depuis lors, quand un oiseau
se pose sur l'arbre, l'arbre lui le raconte que la chrysalide
n'a jamais réveillé. il la
imagine avec les ailes déployées, voltigeant partout un ciel
bleu clair, ivre de nectar
et de la liberté, «le témoin discret à nos histoires d'amour.»
Cette
identification de la nature avec le procesus de deuil c’est une theme literaire
toujurs présent dans les legends et mythes antiques que survie vigoureuse dans
la Literature contemporain. Dans le roman de François Mauriac
qu'est considéré comme son premier chef d'œuvre: “Le Baiser au lépreux”, son
protagoniste Jean Péloueyre, âgé de vingt-trois ans, vit isolé des gens à cause
de son laideur corporelle qui lo fait sentir mort en vie, comme un lépreux,
eloigné des autres, encore en fuite de son épouse que le repousse, malgré il
est amoureux d’elle. Mari et épouse sont victimes de leur deuil sans ärret: au
fin Jean décide de s'occuper d'un ami tuberculeux et va à son tour contracter
la maladie; finalement quand il meure, son épouse entra en deuil permanent, en
repeter une vie de souffrance comme celle de son mari, en renonçant à toute
passion terrestre. Cette destine de solitude trouve compagnie uniquement dans la nature: Jean marche seule bien tôt le
matin a la chasse et retourne tard le soir. Il marche pour les forets, entre
les arbres et la campagne de les landes, jusque la mer. Plus tard, au fin, son
epouse suivrá le mëme chemin.
Jean Péloueyre
sortit. De nouveau, entre les murs aveugles et sous la muette indulgence
des
arbres, il
marchait, gesticulait; parfois il feignait de se croire allégé de sa croyance:
ce liège qui
l'avait soutenu
sur la vie lui manquait d'un coup. (chapitre I)
Comme
autrefois, Jean Péloueyre s'évadait de la maison partenelle, longeait les murs
des
ruelles
détournées. A l'affût derrière un pin, en lisière d'un champ de millade, il
guettait les
pies. Il eût
voulu retenir chaque minute et que le soir ne vînt jamais. Mais déjà plus vite
naissait
l'ombre. Les
pins, en proie aux vents d'équinoxe, reprenaient en sourdine la plainte que
leur
enseigne
l'Atlantique dans les sables de Mimizan et de Biscarosse. De l'épaisseur des
fougères,
s'élevèrent les
cabanes de brande où les Landais, en octobre, chassent les palombes. L'odeur
du
pain de seigle
parfumait le crépuscule autor des métairies. Au soleil couchant, Jean Péloueyre
tirait les dernières alouettes. A
mesure qu'il se rapprochait du bourg son pas devenait
plus lent. Un
peu de temps encore! (Ch VI).
…longues heures
de brume et de songe bercées de cloches de troupeaux, d'appels de bergers,
de croassements.
(Ch VII)
Un jour morne
de novembre, elle qui haïssait la marche, se força à suivre Jean Péloueyre dans
la lande et
jusqu'aux confins de ces marais déserts où le silence est tel qu'aux veilles de
tempête, on y
entend les coups sourds de l'Atlantique dans les sables. Les gentianes, d'un
bleu
de regard, ne
les fleurissaient plus. Elle allait devant, comme on s'échappe, et il la
suivait de
loin. Les
pasteurs du Béarn dont était issu Jean Péloueyre, et qui dans ce désert
jouirent du
droit de
pacage, y avaient, bien des siècles auparavant, creusé pour leurs troupeaux un
puits;
au bord de sa
bouche fangeuse, les deux époux se rejoignirent. Et Jean pensait à ces vieux
bergers
atteints du mal mystérieux de la lande, la pelagre, et qu'on retrouve toujours
au fond
d'un puits ou
la tête enfoncée dans la vase d'une lagune. Ah! Lui aussi, lui aussi, aurait
voulu
étreindre
cette terre avare qui l'avait pétri à sa
ressemblance et finir étouffé par ce baiser. (Ch
VIII)
Jean
Péloueyre regarda défiler les pins familiers que traversait le petit train; il
reconnut ce
fourré où il
avait manqué une bécasse. La voie longeait la route qu'il avait si souvent
parcourue
en carriole.
Cette métairie couchée dans la fumée et dans la brume, au bord d'un champ vide,
serrant contre
elle le four à pain, l'étable, le puits, il la salua par son nom, il en
connaissait le
propriétaire.
Puis un nouveau train l'emporta à travers des landes où il n'avait jamais
chassé. A
Langon, il dit
adieu aux derniers pins comme à des amis qui l'eussent accompagné le plus loin
possible et
s'arrêtaient enfin, et de leurs branches étendues le bénissaient.(Ch. IX)
Des vols de
ramiers présageaient un hiver précoce: bientôt on monterait les appeaux à la
palombière... Toujours Jean
Péloueyre avait aimé l'approche de l'arrière-saison, cet accord
secret avec son
cœur des champs de millade moissonnés, des landes fauves connues des
seules
palombes, des
troupeaux et du vent. Il reconnaissait quand, à l'aube, on ouvrait la fenêtre
pour
qu'il respirât
mieux, le parfum de ses tristes retours de chasse aux crépuscules d'octobre.//
Pourquoi se
demandait-on si Jean Péloueyre souffrait, puisque sa souffrance était une joie?
De
la vie, il ne
percevait plus que les chants des coqs, des cahots de charrette, des appels de
cloche, ce ruissellement
indéfini sur les tuiles, et, la nuit, des sanglots de rapaces oiseaux, des
cris de bêtes
assassinées. Sa dernière aube toucha les vitres. Cadette alluma un feu dont la
fumée résineuse
emplit la chambre. Cette haleine des pins incendiés que si souvent, dans les
étés torrides,
la lande natale lui souffla au visage, Jean Péloueyre la reçut sur son corps
expirant. (Ch. XV)
Ainsi
courut Noémi à travers les landes, jusqu'à ce qu'épuisée, les souliers lourds
de sable,
elle dût
enserrer un chêne rabougri sous la bure de ses feuilles mortes mais toutes
frémissantes
d'un souffle de feu,--un chêne noir qui ressemblait à Jean Péloueyre.(Ch. XVI)
Dans sa prémière version le roman avait une autre titre que Mauriac a changé pour un autre, choisit en référence à la vie de François d'Assise. On peut dire, en ligne avec un deuil vecu dans la premiére part de la vie, Mauriac rappele sans cesse de son retour à la vie du pasée et que son œuvre est tout entière issue de son enfance et de son adolescence, de son Bordeaux et de ses landes: «Je n'observe pas, je ne décris pas, je retrouve» [...].
L'approche du deuil a besoin de
la réfléxion et de la conversation sur le chagrin qui en éveille et que se traduit par la construction d'un récit clé parmi
les patients en
phase terminale et leurs familles (Correa, 2006), ou par des membres de groupe qui
étude son emploi clinique (Correa et Hobbs, 2007 ; Correa, 2012). Dans les
groupes interculturels ce’st necessaire développer un contexte essentiel de
conversation et de réflexion entre deux personnes ou bien parmi tous les membres
impliqués dans un groupe (Correa et Hobbs, 2007 ; Correa, 2012)., comme
peut éveiller une perte irréversible causée par une maladie grave ou par la
mort, que conduisent à approfondir les conversations entre personnes –personne
a personne (Bowen, 1991)- ou parler ouvertement et partager l'expression
émotionnelle parmi tous les membres de la famille (Paul et Grosser, 1965). En
tant que membres du groupe sont mis au défi par le deuil de recréer des
histoires et d'élargir la compréhension du sens (Correa, 2011), la compétence
narratologique est progressivement acquise et / ou enrichie). Les processus narratifs détiennent exercices constants de
dialogue, de réflexion et de compréhension accordées par la communication
interpersonnelle affective à travers des expériences vivides de deuil qui
exigent d'être partagées pour accomplir la compréhension de la douleur
émotionnelle profonde (Correa, 2016). Il est postulé que l'approche artistique des récits de
deuil partagés par sujets de cultures diverses pourrait aider à atteindre leur
pleine compréhension en favorisant à leur communication affectif sur des
histoires engagés avec un profonde compromise de vie.
Si un groupe familial sain permettra à tous
ses membres de contribuer potentiellement au récit du deuil ; par la
nature propre de son structure des relations sur laquelle la communication se
construit, la narrative de deuil serait caractérise par la valorisation de la
liberté et clarté d'expression de chacun membre tant que par la mutualité
groupel dans la reconnaissance et l'acceptation de différents points de vue de tous
ses membres (Beavers 1981; Simon 1988). Par contre, les groupes familiales
dysfunctionals développeraient narratives stéréotypées et rigides sur la
appréciation des malades graves et de son mort, semblable à autres contextes de groupes sociaux que renforçant
la concurrence dans leurs différentes déclarations professionnelles et par les
divers systèmes sociaux entour le malade et son famille, renforcées par les
récits socioculturels contemporains qui exercise une vision plus technologique
que basée chez les rapports vis-à-vis interpersonnels, maintenant
insensiblement facilitée par la communication électronique.
Pour étudier les
röles de la conversation et de la réfléxion dans la
construction du narratifs de deuil, nous avons fait une exercise de groupe à
partir d’une poeme de la poétesse cannadienne Louise Dupré, qui vole ci dessus
de la thematique sordide des bébés assassines dans Auschwitz: "Plus haute
qui les flammes", qui la mëme auteur et le traducteur au espagnol ont lu
dans la prémière réunion
organisé pour l´Asociation Argentine
d’Études Canadiens (ASAEC) dans le Salon du Livre à Buenos Aires dans Avril
2012. Ainsi, nous avons organisé des ateliers pour favoriser l’integration de
la réflexion et la sensibilité qui stimulent deroulements esthetiques que
conduisent à les arts (Correa et de Artiagoitia, 2009), oú les participants
feminines jouent un rol actif dans la composition narrative individuel et
groupal.
La recherche
de la signification faite par la réflexion et la sensibilité dans la récréation
d’une poème canadien sur l’ environnement sordide du génocide,
faite par deux groupes narratifs argentins avec des poèmes latino
américaines .
Cette
activité proposé une vision narrative interculturelle et
interpersonnelle qui c’est fondé sur les réflexions et la sensibilité dans la construction
des récits groupales sur le sens des textes de poèmes. Considérant un texte
traduit la prémière étape dans le transfert culturel de textes et d´idées entre
les langues et les cultures, nous avons eu accès à une poème de l'auteur
québécoise canadienne Louise Dupré [LD] : "Plus haute que les
flammes", traduit en espagnol, et que nous avons utilisé pour chercher une
signification interpersonnelle groupale dans deux ateliers narratifs faites à
Buenos Aires. Aprés la lecture et la réflexion du poème, ce sont lu des poèmes
latino-américains [LA], choisissent par son sens en opposant à le poème qui se
réfère à des bébés tués à Auschwitz : cette sélection de textes LA a été
ajustée en choisissant des poèmes pour enfants faites par la poète chilienne
Gabriela Mistral [GM] et par les poètes argentines Marta Bailaque [MB ] et Conrado Nalé Roxlo [CNR]. En raison
de l'aspect défiant du poème de LD sur l'identité et la survie dans le contexte
de la culture canadienne, ont été également sélectionnées, les paroles
poétiques d'une chanson avec des traits similaires dans le contexte de la culture
LA («Les veines ouvertes», Mario Schajris & Leo Sujatovich).
La
recherche du sens caché dans le poème a été fait à travers de la signification
interpersonnelle groupale obtenu grâce au déclanchement de la reconstruction poetique
d’une série enchevêtrées des versets au hasard du poème Canadienne et des
poèmes d'Amérique latine. Cela a été fait avec quatre feuilles de papier qui ont été recueillies avec
64 strophes de la première partie du poème de Dupré plus la même quantité de
feuilles avec strophes de poèmes latino-américaines [GM: quatre poèmes, MB:
deux poèmes, CNR : un poème et lettres de chanson par poètes argentins :
une]. Ce matériel écrit
chez huit pages a été remis à chaque membre du groupe pour réfléchir en commun
sur chaque strophe du versets; aprés ils ont mélangé les huit feuilles au
hasard et ont répondu en lisant chaque page du poèmes en sélectionnant la
strophe la plus significative de l’ensemble, afin d'ëtre elus huit strophes de
chaque page que deviennent un nouveau poème groupal. Finalement le group forme
autres quatre poémes dans quatre tours.
En
étudiant le dernier des poèmes du groupe après le quatrième tours nous avons
trouvé: 1) dans le premier groupe composé par cinq membres qui ont fait usage
intensif sur la narration cinématographique de deuil, que quatre des cinq strophes de ce
dernier poème correspondaient par hasard à l´original de LD, en soulignant le
sens de l'art, le temps de l'innocence et de la condition humaine; des sujets
qui pourraient être considérés comme le contenu significatif du poème original
évolué à partir de l’initiale agonie d’enfer, alors que : 2) dans le
deuxième groupe composé par trois membres qui ont assisté aux «Groupes
d’Alcooliques Anonymes», deux des trois strophes correspondaient à
l´original en soulignant ici des contenus en cherchant le sens de l’agonie
infernal et de l’incertitude du futur. On discute sur l´ hypothèse de N.
Bourriand (1998) à propos de l’approche participative sociale de l´Esthétique
qui postule dans les interactions humaines et sociales qui se lient
spécifiquement á le rencontre avec l'objet esthétique, que emportent sur
les contenus de la production artistique elle-même. En tout cas nous
soutiendrons que les lectures subjectives de ces individus et groupes de
la rencontre avec l'objet esthétique, moduleront la perception et la
compréhension des contenus de la production artistique selon ses contextes
de signification relationnelle.
Références
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model of family for Family therapists”, J. Marital.Fam.Ther., 7 (3): 299-307.Bourriand, Nicholas, (1998). “Esthétique relationnel”, Paris: Les Presses du Réel.
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De la familia al individuo. La
diferenciación del sí mismo en el sistema familiar, Buenos Aires: Paidós.
Correa, Julio Enrique, Narrativas BLOG 29-8-16 «Narrativa grupal de Arte y Medio Ambiente»
Jornada de cine: "ARTE
CONTEMPORANEO Y MEDIOAMBIENTE", Selección y
presentación por Lara Correa (Diseñadora de Imagen y Sonido UBA), ECICAS, 6 de Diciembre 2013, 14hs.
Rimbaud, Arthur, Une saison a l’enfer, La Plata: Altamira, 1996.
Produced by Winston Smith.
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