3. Serait-il possible la construction d’une vision narrative interculturel de l'environnement?
Julio Enrique Correa
L'Accord de Paris (COP21) approuvé
le 12 décembre 2015 est devenu un événement environnemental historique capital
pourquoi est le premier accord universel pour le climat approuvé à l’unanimité
par les 196 délégations (195 États + l'Union Européenne) en établir de
règlements climatiques pour aboutir la lutte contre le réchauffement climatique
dans le monde entier. Par contre deux
ans aprés un seule président d'un pays responsable de emission de gaz (Donald
Trump) entraîne de nombreuses incertitudes quant à l’évolution des négociations
internationales sur le climat. La pensée nationaliste autoritaire
de Donald Trump croit suffisant pour qualifiér le changement climatique de
«canular» inventé par les Chinois et ainsi promis d'«annuler» l'accord sur le
climat et de relancer les énergies fossiles. Puis, en vertu de la politique
faisant autorité exercée par le président américain Donald Trump, les
Etats-Unis passera bien sûr sur le changement climatique et tirer du pacte
mondial pour réduire les émissions.
Une telle incongruité dans les accords
internationaux exercés par les autorités pose la question de savoir si plus que les signatures pour
parapher les accords dans les spécifications techniques des objectifs thermiques à atteindre et les investissements économiques
nécessaires à leur réalisation, aurait besoin d'un travail interdisciplinaire
systématique pour les accomplir. Dans ce cas,
l'intérêt de s'occuper d'un problème qui menace le monde entier se concentre
sur l'environnement, d'où aucune frontière ni aucune question nationale ne doit
être prise en compte mais pour se soumettre à l'ordre environnemental
impliquant à tous. Si la survie de l’environnement est une défi essential pour la vie dans la
terre, est nécessaire developpeur l'exercice de la compréhension
interculturelle de l’environnement. Les contextes politiques autoritaires répondent à une seule culture dominant
de caractère national ou tribal soutenu par hégémonies
ethniques, religieuses ou de classe social, installés dans un territoire occupé et défendu pour une système militaire. Par conséquence,
l'environnement est conçu comme une propriété que ne se partage pas avec les
autres, de mëme maniere que les autres cultures sont méprises et n’est pas
possible accorder ou aboutir une changement substantiel d’opinion.
La communication réfléchissante et la
compréhension de la perspective d'une autre culture joue
un rôle de soutien pour la construction narrative interculturelle. L'Antarctique
peut ëtre un exemple de collaboration interculturelle international où les relations entre les individus de différentes
nations repose sur la coexistence pacifique entre eux au lieu d'être marquée
par les règlements des nations (Herzog, 2007). La perspective interculturelle est fournie sur la notion
de différence de point de vue qui enrichit l'approche dans la résolution des
problèmes communes. Dans le gouvernement du Canada, la reconnaissance de «la
diversité des Canadiens en matière de race, la couleur, origine nationale ou
ethnique, est une caractéristique fondamentale de la société canadienne». Le
Québec a développé un modèle appelé interculturalisme.
Il diffère politiquement du multiculturalisme qui répond à une stratégie de
Pierre Elliott Trudeau pour répondre au mouvement nationaliste au Québec,
proposant que la diversité des cultures, plutôt que les deux cultures
fondatrices, soit reconnue. Puis les Canadiens français devenant un groupe
linguistique. Ce modèle correspond à la représentation idéale du bon multiculturalisme et est cohérent, jusqu'à un certain point, avec le
modèle interculturel proposé par le gouvernement québécois. Ce modèle suggère
que l'interaction entre les cultures devrait être l'objectif de toute politique
d'intégration, mais en même temps, elle proclame qu'il devrait y avoir plus
qu'un échange collectif de cultures. L'intégration doit être réalisée dans un
contexte linguistique, historique et culturel unique, spécifique à la société
québécoise. Cet aspect de l'interculturalisme est de plus en plus présent dans le
multiculturalisme au Canada. Ce concept est applicable à la conception des
accords interculturels tels que ceux qui composent le tissu de l'Union
européenne et d'expliquer l'échec
d'intégration des pays autoritaires avec une tradition impériale. Le
type d'organisation verticale de la société favorise les élites et la culture
dominante. Au contraire, une vision post-coloniale mettra en question le régime
des inégalités à tous les niveaux et proposera une organisation horizontale de
la société, mettant chaque culture et chaque groupe au même niveau (Duchastel, 2010). Cela
le but de la démocratie et de la coopération
internationale!
Alors que la conversation démocratique
s'ouvre à l'expression de niveaux de sens multiples qui cherchent une netteté
des définitions, des conversations stéréotypées rigides au lieu persistent en
répétition des copies d'une seule vue qui deviendra un dogme ou un manifeste
qui alloue les cultures pour rester fidèles aux croyances religieux ou à les
conventions politiques de pouvoir au lieu d'évoluer vers des expériences
humaines enrichissantes. Le film d'Alexander Sokourov "Francofonia"
(2015) montre différents niveaux de conversation sur les récits de deuil
(Correa, 2016) véhiculés par les arts visuels lors de l'invasion nazie en
France et en Russie qui ont transformé les objets esthétiques en trophées de
guerre dans les contextes variables des différentes cultures européennes En
louant plus les objets que les hommes concrets et leurs contributions diverses
à la humanité. «L'Europe est partout. Nous nous asseyons, en face l'un de
l'autre, et notre lot est un et le même».
Nous comprenons que la construction narrative
interculturelle est une processus progressif d'essais qui est plein des
malentendus, non
seule de significations dans les diverse langues et cultures mais aussi de les
difficultés de la pensée et de la compréhension autoritaire. Ceci est également le cout
difficile d’ arriver à un accord vrai et durable.
Would it be possible to build an intercultural narrative
view- of the environment?
The Paris Agreement (COP21), approved
on December 12, 2015, has become a major historical environmental event. This
is the first universal climate agreement unanimously approved by the 196
delegations (195 States + the European Union) to establish Climate regulations
to achieve the fight against global warming. On the other hand, two years after
a single president of a country responsible for the emission of gas (Donald
Trump) causes many uncertainties about the evolution of the international
negotiations on the climate. Authoritarian
nationalist thinking thinking by Donald Trump believes it is enough to qualify
climate change as a "hoax" invented by the Chinese and thus promised
to "cancel" the agreement on climate and to revive fossil energies. Under
the authoritative nationalist policy exercised by
US President Donald Trump, the United
States so will switch course on climate change and pull out of a global pact to
cut emissions. Such incongruence on international agreements by
the authorities raises the question whether more than signatures to initial
agreements in the technical specifications of the thermal objectives to be
achieved and the economic investments necessary to achieve them would require interdisciplinary
work systematically accomplished. As democratic conversation opens up to the expression of
multiple levels of meaning that seek clarity of definitions, rigid stereotyped
conversations instead persist in repeating copies of a single view that will
become a dogma or manifest that allocates cultures to remain faithful to
religious beliefs or political conventions of power instead of evolving into
enriching human experiences.
In this case the interest of caring
for a problem that threatens the whole world leads to focus in the environment,
hence no boundaries nor national matters are to be taken in account but to
submit to the environmental order involving all. Contrarily, the environment is
conceived as a property that is not shared with others, in the same way that
other cultures are misunderstood and it is not possible to grant or reach a
change of opinion. If the survival of the environment is an essential challenge
for life in the land, it is necessary to develop the exercise of intercultural
understanding of the environment. Authoritarian political contexts respond to a
single dominant culture of national or tribal character supported by ethnic or
religious hegemonies settled in occupied territory and defended for a military
system.
The intercultural perspective is
provided on the notion of difference of point of view that enriches the common
approach in solving problems. In the Canadian Government the recognition of
‘the diversity of Canadians as regards race, colour, national or ethnic origin,
are a fundamental characteristic of Canadian society”. Quebec has developed a
model called interculturalism. It
differs politically from multiculturalism that responds to a strategy of Pierre
Elliott Trudeau to answer to the nationalist movement in Quebec, proposing that
the diversity of cultures, rather than the two founding cultures, was to be
acknowledged, French Canadians becoming a linguistic group. This
model fits with the ideal representation of good
multiculturalism, and is coherent, up to a point, with the intercultural
model proposed by Quebec’s government. This model suggests that interplay
between cultures should be the aim of any integration policy, but at the same
time it proclaims that there should be more than a collective interchange of
cultures. The integration should be accomplished inside a certain linguistic,
historical and cultural context, which is the one specific to the Quebec
society. This aspect of interculturalism is more and more present in multiculturalism
in Canada. The type of vertical organisation of society favours elites and the
dominant culture. On the contrary, a post-colonial view will question the
regime of inequalities at every level and propose a horizontal organisation of
society, putting every culture and groups on the same level (Duchastel, 2010). This
concept is applicable to the design of intercultural agreements such as those
that form the fabric of the European Union and to explain the failure of
countries with an authoritarian imperial tradition to integrate it. Reflective communication and
understanding of the perspective of another culture plays a supporting role for
intercultural narrative construction. Antarctica can be an example of
international intercultural collaboration where relations between individuals
of different nations are based on peaceful coexistence between them rather than
being marked by the rules of nations (Herzog, 2007).
We understand that intercultural
narrative construction is a progressive process of testing which is full of
misunderstandings, not only of meanings in the various languages and cultures
but also of the difficulties of authoritarian thought and understanding. This
is also the difficult cost of reaching a true and lasting agreement.
References
DUCHASTEL Jules, “Multiculturalism:
what are our discontents about?” Seminar
held in Buenos Aires: “Nación, Diversidad. Pluralismo. Entre el crisol de Razas
y el Multiculturalismo. Miradas cruzadas Argentina-Canadá”, 15-16 XI 2010.[PF1]
CORREA,
Julio Enrique, Análisis sistémico de la comunicación y
construcción de narrativas estéticas por super-sistemas grupales, sociales y
culturales. Revista Perspectivas en
Psicología, Revista
de Psicología y Ciencias afines, 2016 (In Press).
SOKOUROV, Alexander, "Francofonia", Film 2015.
HERZOG, Werner, Encounters at the End of the World, Film 2007
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